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Défi,  Être

Bilan après 22 semaines de défi… et une rémission de burn out

Cette semaine, je fais une pause. Non, je n’arrête pas mon défi et le fil de mes voyages passés et les enseignements que j’en ai tiré reprendra dès samedi prochain. Après tout, je n’ai pas raté une seule semaine jusqu’à présent et je compte bien le réussir! Mais j’ai ressenti le besoin de faire ce bilan. Qu’ai-je retiré de ces 22 semaines de défi ? Déjà 5 mois! Et puis, comment je sens la suite ? Analysons ça ensemble.

Les 3 premières semaines

Le challenge était lancé. L’excitation du début suffisait à la motivation pour prendre le temps d’écrire les articles. Revisiter ces trois premiers voyages a été un vrai bonheur. J’ai revécu les sensations que j’avais eu sur place et ça m’a fait beaucoup de bien. J’étais tellement dans cet état d’esprit positif que je suis parvenue à écrire sur cette période deux autres articles : un sur le côté pratique du voyage (avec les 7 erreurs à éviter lorsqu’on fait sa valise) et un qui était sur l’actualité des bonnes résolutions (comment faire d’un rêve un réalité ?).

Enseignements

J’ai d’ailleurs retiré des enseignements très positifs de ces voyages :

  • espoir,
  • joie,
  • catamaran,
  • rêve devenu réalité,
  • nouvelle famille,
  • nouvelles langues,
  • indépendance,
  • nouveaux amis et, surtout,
  • je me suis trouvée moi.

Autant le dire, je flottais sur un petit nuage pendant ces voyages et je l’ai ressenti de la même façon en les faisant revivre. Bref, ça m’a fait réaliser que oui, ce défi était une bonne chose pour moi et une bonne idée de le continuer. Et, après avoir écrit un article sur le fait de réaliser ses rêves, pas question d’abandonner un défi que je m’étais lancée si peu de temps avant le nouvel an!

Les 12 semaines suivantes

Alors là, ça n’a pas été la joie. Et c’est un euphémisme. Le fait d’arriver à produire chaque semaine un article était un véritable challenge. Comment trouver le temps ? Et, pourtant, le fait de les écrire, de revisiter ces voyages passés me faisait un bien fou. C’était un peu comme un îlot de calme au milieu de la tempête quotidienne. Je me suis donc accrochée. J’ai continué. Alors pourquoi est-ce que ça a été si difficile ?

Ma vie pendant ces 12 semaines

D’abord, parce que j’ai enfin regardé la vérité en face. Ensuite, parce que, malgré tout, je ne l’ai pas acceptée. Enfin, parce que mon horaire était surchargé. En très bref…

Je faisais de longues journées au boulot. Il y avait les représentations au théâtre. J’ai accepté/organisé pas mal de sorties avec des amis. J’ai repris le hapkido. Je suis allée à mes répétitions mensuelles à l’orchestre. Les répétitions aux théâtres ont repris une fois les représentations finies. J’ai fait un stage de hapkido et un autre de comédie musicale. Je suis allée à mes différents rendez-vous médicaux. J’ai fait un passage aux urgences (rien de grave, on n’en parlait plus au bout d’une semaine). Les restrictions à cause du covid19 ont commencé. Puis le confinement a pointé son nez annulant en même temps mes « récompenses – carottes » qui me faisaient tenir. Et, pour couronner le tout, mes émotions ont joué aux montagnes russes pour pleins de raisons différentes.

Journaux et lettres Harry Potter
Folle ou dangereuse ? Typiquement ma vie d’avant en tout cas.
(Photo prise à Londres, dans les studios de Warner Bros)

Résultat ? Dans la section suivante. Toujours est-il que j’étais dans un état d’épuisement constant. Autant physiquement que moralement d’ailleurs. Pourtant, comme je l’ai dit, j’ai continué mon défi. Cet îlot de paix me faisait revivre ces voyages qui, déjà à ce moment-là, me faisaient respirer. C’était du recyclage en quelque sorte.

Enseignements

Sur ces 12 semaines, j’ai donc appris de ces voyages :

  • l’application et la puissance du carpe diem,
  • ma température idéale,
  • mon attrait pour les anciens volcans,
  • les types de voyages qui me correspondaient ou pas,
  • les Hommes peuvent vivre en harmonie avec la nature,
  • ma condition physique se détériore,
  • me détacher du regard des autres,
  • mon peu d’attrait pour les grandes villes,
  • les types de logements que j’aimais avec leurs avantages et inconvénients,
  • l’organisation des voyages,
  • mon avis sur les lieux touristiques,
  • l’amitié n’a pas de frontière,
  • la capacité à accepter mes faiblesses physiques,
  • aucun moyen de transport ne me fait peur (ni leur nombre),
  • le partage de l’écriture.

Beaucoup d’enseignements à la fois positifs et enrichissants qui me permettent de mieux me connaître moi-même. Et qui va participer à la suite…

Les 7 dernières semaines

Petit à petit, ces dernières semaines m’ont fait énormément de bien. De par ce blog mais aussi par ma façon de réorganiser ma vie. Et des décisions que j’ai prises. Laissez-moi vous expliquer.

D’abord, avec le confinement, le boulot ne s’est pas arrêté pour moi. Je suis simplement passée à 100% en télétravail. Mais, étant donné que j’ai un boulot très particulier (certains ne considèrent d’ailleurs pas une thèse comme un travail mais comme quelque chose entre des études et un travail), j’ai complètement revu ma façon de voir les choses. Pourquoi est-ce important ?

Mon burn out

Comme je l’ai dit dans la section précédente, j’ai regardé la vérité en face au début de cette année… Même si je le savais depuis déjà plusieurs mois. Cette vérité ? J’étais en burn out. (En réalité, je le suis toujours, mais chaque chose en son temps, je ne suis pas encore au présent.) Et, comme je l’ai dit et illustré dans la partie précédente, je ne l’ai pas accepté.

Je suis tout de même parvenue à maintenir ce rythme pour deux raisons : la première, c’est que je n’étais plus au fond du trou. Le fond du trou, je l’ai vécu l’été-automne passé. La deuxième raison, c’est que j’étais bien entourée. Malgré le fait que je passais du temps au théâtre et avec mes amis au lieu de me reposer, ces moments étaient parfois du soutient, parfois de la joie mais toujours bénéfiques pour mon mental. Et puis, ça m’empêchait de me retrouver seule chez moi à cogiter.

L’acceptation

Bref, j’ai tenu à peu près 9 semaines sur les 12… Puis je me suis effondrée. Une fois en télétravail et une fois que j’ai eu bien pété les plombs suite aux annulations de mes « récompenses – carottes », j’ai dormi. Littéralement. J’ai accepté enfin la situation dans laquelle je me trouvais, dans laquelle je me trouve toujours, et j’ai dormi.

Pendant près de deux semaines, quand je ne dormais pas, je comatais devant la télévision ou je lisais. Et ça ne me prenait pas beaucoup de temps vu que je dormais en moyenne 12 à 14h par jour. Pas de travail, pas de ménage, pas de rangement, pas de coup de fil et pas de remord, de honte ou de jugement. Une véritable acceptation de la situation. Et un vrai soulagement.

La remontée de la pente

Et on en arrive enfin véritablement à ces 7 dernières semaines. (Je ne me voyais pas couper cette explication en deux parties.)

Petit à petit, je me suis remise en mouvement. D’abord, j’ai repris le sport le matin, pour commencer ma journée. J’en suis à ma 9ème semaine consécutive. Au début, c’était juste pour faire bouger mon corps. Jamais très long et presque toujours très doux. Des petites séances de yoga, un peu de renfo, pas de cardio. Je m’écoutais. J’écoutais mon corps, ce dont il avait envie, ce dont il avait besoin. C’était déjà grâce au sport que j’étais parvenue à décoller un peu du fond du trou l’automne passé et, cette fois, allié à un vrai repos (qui est devenu ma priorité), ça a véritablement fait des miracles.

Suite au sport, j’ai eu envie d’améliorer ma façon de nourrir mon corps. Plus à l’écoute ? En tout cas, même s’il y a des hauts et des bas, c’est largement mieux. Ne serait-ce que parce que je prends réellement le temps de manger. Avant, « je n’avais pas le temps ». Je sais. C’est dingue.

Petit à petit, j’ai repris le boulot tranquillement et sans pression. Si ça va, tant mieux, si ça ne va pas, pas grave. Ce sera pour un autre jour. (Et quand j’en doute, je me le répète à haute voix et je me remémore mon état au fond du trou.) Et je me suis instaurée une petite routine qui me convient, en incorporant aussi de la méditation.

Aujourd’hui

Résultat, j’ai mis la priorité à mon repos. Quoi qu’il arrive, je dors mes heures et je me lève quand je me lève. Il y a une semaine où je n’ai pas suivi cette règle et je me suis effondrée la semaine suivante. (Celle qui vient de s’écouler en fait.) Un bon rappel sur le « ça va mieux, mais tu ne dois pas reprendre ta vie d’avant« .

Un sommet de Kauai
Moi à l’heure actuelle : en équilibre plus ou moins stable au dessus du trou (à gauche le vrai, devant l’actuel) et avec ma vie d’avant derrière moi et ma nouvelle vie quelque part devant
(Photo prise à Kauai)

Et, quoi qu’il arrive, je fais ma séance de sport le matin. Ça me donne de l’énergie, je suis fière de moi (donc positive) et, en plus, je me sens mieux dans mon corps. Ça ne m’empêche pas de travailler tous les jours mais mon changement d’état d’esprit fait que, non seulement, je fais moins d’heures (ce qui revient à dire, je fais les heures d’un job normal) mais, en plus, je ne m’en sens plus coupable.

Bref, et mon défi dans tout ça ?

Mon défi

Hé bien, au vu de mon changement d’état d’esprit et de ma façon de remonter la pente, j’ai retrouvé ce bonheur d’écrire du début. Et plus seulement ce petit îlot de paix. C’est aussi pour ça que j’ai écrit plus d’articles ces dernières semaines sur des sujets qui me tiennent à cœur : le fait de vivre au présent en laissant aller le passé, le fait que je me sois trouvée moi à Hawaï et le fait de croire en soi ainsi que mon livre « Rendre sa vie plus belle grâce au voyage ».

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J’ai également eu la chance de faire un article invité dans lequel je parle de la créativité (un sujet qui me touche également beaucoup) et l’article sur le fait de m’être trouvée à Hawaï fait partie d’un carnaval d’articles. Je commence donc à rencontrer (virtuellement) d’autres blogueurs et à échanger avec eux. Ce qui est très motivant.

Enseignements

Et sinon, qu’ai-je retiré de ces voyages passés ?

  • la découverte du couchsurfing
  • ma compréhension incompréhensible de l’espagnol et de l’allemand
  • le bonheur de revoir la mer
  • le bonheur des découvertes culinaires
  • l’amitié n’a pas non plus de limite de temps et est un bonheur infini
  • des rencontres éphémères marquantes
  • une nouvelle dimension à mon approche des villes touristiques
  • prise de conscience que voyage = bouffée d’oxygène
  • ma condition physique, ce n’est toujours pas ça!
  • une nuance dans mon amour des îles
  • les compromis en voyage, ça passe mais c’est pas top
  • ma façon de réagir au harcèlement de rue
  • ma vision des refuges
  • l’expérience des « voyages d’affaire »
  • l’épuisement bénéfique insensé

À nouveau, ces enseignements ont été riches et me permettent de mieux voir ce qui me défini, mieux me connaître… Et mieux voir comment je veux réorienter ma vie pour m’en sortir.

Et pour la suite de ce défi ?

Comme je l’ai expliqué dans la section précédente, je récupère d’un burn out. Je vais donc continuer ce défi mais en faisant toujours passer mon repos et mon bien-être mental avant. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai tenu à faire ce bilan cette semaine. Pourquoi ?

Nécessité de ce bilan

Déjà, parce que je pense que pour les deux derniers voyages dont j’ai déjà parlé ici (Strasbourg et Londres), j’étais sur la pente glissante qui menait au fond du trou.

Ensuite, même si les prochains voyages dont je vais parler ce sont globalement bien passé, les premiers symptômes du burn out étaient déjà présents.

Et, enfin, ces derniers jours, je n’étais pas bien. Et j’ai commencé à angoisser à l’idée de me replonger dans cette période pour écrire les prochains articles. D’ailleurs, j’écris celui-ci à la dernière minute car je l’ai repoussé sans cesse jusqu’à parvenir à cette conclusion : il faut que je fasse un bilan.

Bienfaits de ce bilan

Et j’ai bien fait de suivre mon instinct. Je réalise à quel point faire ce bilan me permet de comprendre le chemin parcouru. Le chemin parcouru, à la fois, dans ce défi mais, aussi, dans ma vie, ma santé, mon état d’esprit. Je recommence d’ailleurs à envisager sérieusement de repartir à l’étranger. Même si on le pouvait, ce ne serait pas pour tout de suite. Et certainement pas de la même façon que tous les voyages que j’ai pu faire jusqu’à présent.

J’ai envie de réaliser vraiment mes rêves de voyages et pas de les vivoter par-ci par-là, quand je le peux. Je n’ai pas envie que ce soit des pauses dans une vie « normale » selon la société et qui ne me correspond pourtant pas.

Ma vie de transition

Bref, je recommence à penser de temps en temps à l’avenir. Mais, pour le moment, et comme ça devrait toujours l’être, seul compte le présent. Et, à présent, je vais continuer à

me faire du bien, sans me faire du mal

Lucile Woodward

Me reposer, prendre soi de moi, finir mes projets en cours, selon le rythme qu’ils voudront bien prendre et ne pas en amorcer de nouveaux. Et, lorsque ce sera fait (certainement pour octobre 2021 pour ma thèse), je débuterai réellement ma nouvelle vie.

En attendant ma nouvelle vie

En attendant, je continuerai à partager avec vous ma vie de transition et mes réflexions. Parce que j’en suis persuadée. Nous pouvons nous construire la vie de nos rêves, la vie qui nous convient. Petit pas par petit pas. À notre rythme.

Je vous invite donc à continuer (ou à commencer) à rêver. Mais aussi, toujours, à voyager. Voyager dans son pays, dans sa ville, c’est aussi voyager. Chacun à son niveau, selon ses possibilités. Tout est une question de point de vue. Et puis, surtout, n’oubliez pas.

Soyez vous-même.

À bientôt,

Amandine

PS : Savez-vous ce qu’est réellement le burn out ?

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18 commentaires

  • Nicolas

    Quel superbe article ! Plein d’espoir ! Je suis admiratif !! Vraiment
    L’écriture donc indirectement le blogging devrait-être remboursé par la Sécu 😊😊
    Voyager est la plus belle des chose à faire pour se sentir vivant !!!
    Merci pour cet article

  • Alex

    Merci pour cet article intimiste et courageux. Je suis persuadé qu’effectivement, écrire tout ça va t’aider à aller de l’avant. Et de façon plus générale, je pense que les bilans sont utiles pour soi-même, mais aussi pour les lecteurs qui peuvent ainsi mieux mesurer le chemin parcouru. Bravo et bon courage !

  • Virgo

    Bravo à toi de garder le cap tout en apprenant à t’écouter et à assumant les difficultés et les obstacles qui peuvent arriver sur ton chemin. Courage à toi pour la suite mais je suis sûre que tu as déjà retrouvé le chemin…

  • Dédé

    Pour avoir passés ces quelques derniers mois au bord du burn-out… je ne peux que me demander ce qu’il y a dans l’air pour qu’une situation aussi déplaisante et désastreuse ne soit, finalement, pas si rare que ça !
    En tout cas c’est une force de parvenir à se concentrer sur les aspects positifs, et ceux qui font du bien, pour s’en sortir (*voyaaaaaaaaages*) et surtout ralentir dans ce monde de fou qui nous demande d’être à 300% 100% du temps. Alors bravo à toi et on continue d’écrire !!! 😀

    (ps : dans ta première liste j’adore comment le catamaran, seul chose « palpable » se cache parmi les autres enseignements… Vivent les plaisirs simples !!)

    • Amandine Bertrand

      C’est vrai que, depuis que je me suis enfin décidée à l’admettre et à le dire, je me rends compte que c’est extrêmement commun… mais bizarrement tabou. En tout cas, merci! Et courage pour ta remontée de pente également. Tu as beau dire, tu as quand même été loin dedans. Mais on continue d’écrire oui! 😀

      Ouiiii! Catamaran ♥

  • Pascale

    Bravo Amandine, pour ce courage et cette lucidité ! Tiens bon, tu es visiblement sur le bon chemin : celui qui te convient.
    Je partage avec toi le goût et le plaisir de l’écriture (en plus de la curiosité 🙂) et du voyage, bien sûr !
    Continue à prendre soin de toi 🙂

  • Corinne COULANGE

    Je découvre ton blog aujourd’hui et ton article plein d’authenticité. Bravo de t’être relevée et d’être à l’écoute de ton corps. Je suis convaincue que les voyages rendent la vie plus belle et le voyage au cœur de soi, que notre corps nous oblige à expérimenter en burnout est peut-être le plus beau. Belle continuation

    • Amandine Bertrand

      Merci Corinne!
      Il est bien vrai que le burnout nous oblige à réaliser un voyage intérieur mais c’est une bonne obligation. Ca permet de remettre un peu tous les bouts en place et de vraiment définir ce qui est important pour nous… Et d’apprendre à s’aligner avec ses valeurs!

  • Astrid de PartageTonBurnOut.fr

    Merci pour ton témoignage !
    Bravo à toi aussi d’avoir osé faire une pause et le dire. Et oui parfois on est animé d’une superbe énergie qui nous aide à faire plein de chose et parfois notre corps ne suis plus. Alors il est important de s’écouter de prendre soin de soi. Se lancer dans un challenge c’est très utile pour se mettre en mouvement, éviter la procrastination et ne pas s’arrêter à ses peurs. Mais cela n’a pas de sens si c’est au détriment de notre santé ou de notre bien être. Oui parfois faire une pause c’est vital. Faire une pause cela permet aussi de se recentrer, de prendre de la hauteur. Donc non ce n’est pas du temps perdu, c’est un voyage intérieur ;-).
    N’hésites pas à venir faire un tour sur mon blog : https://partagetonburnout.fr où tu trouveras peut-être des éléments de réponses sur ce que tu as vécu.

    • Amandine Bertrand

      Merci Astrid! Je suis déjà ton blog qui en vaut vraiment la peine 😉 D’ailleurs, merci pour tous tes articles!
      En tout cas, je dois souvent utiliser le mot « oser » depuis que j’ai commencé ce burn out. Le premier étant « oser se l’avouer ». Mais le plus difficile pour moi est « oser en parler ».
      Merci pour ton commentaire en tout cas!

  • Aude

    Merci pour cet article plein d’emotions.
    Quel chemin parcouru! Et quel chemin a encore parcourir! Mais c’est plutôt positif comme partage, je trouve.
    S’écouter, écouter son corps, écouter ses envies, ce qu’on aime ou pas, ré-apprendre à se connaitre.
    Les voyages sont une belle occasion pour se découvrir encore plus.

  • Christophe SIMOND

    Bravo Amandine, Personnellement j’adore lire tes articles, je suis admiratif de ton écriture, j’adore ta façon de composer les phrases et de mettre une touche d’humour.
    Continue d’avancer accroche toi.
    Et Merci pour ces moments partagés.Cela me rebooste aussi d’entendre tout ces récits de voyages.
    Tout de bon pour la suite, et longue vie à ton blog.

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